• Autopsy:

    No Arabs on Flight 77


    By
    Thomas R. Olmsted, M.D


    I
    am an ex Naval line officer and a psychiatrist in private practice
    in New
    Orleans, a Christian and homeschool dad. It troubled me a great
    deal that
    we rushed off to war on the flimsiest of evidence. I considered
    various
    ways to provide a smoking gun of who and why Sept 11th happened.
    Astute
    observers noticed right away that there were no Arabic sounding
    names on any
    of the flight manifests of the planes that "crashed" on
    that day.



    A
    list of names on a piece of paper is not evidence, but an autopsy
    by a pathologist, is. I undertook by FOIA request, to obtain that
    autopsy list and you are invited to view it below. Guess what? Still
    no Arabs on the list. In my opinion the monsters who planned this
    crime made a mistake by not including Arabic names on the original
    list to make the ruse seem more believable.

     

    La suite sur: http://www.physics911.net/olmsted.htm

    On a le choix: se donner une chance de savoir ou enfoncer la tête sous la sable... c'est à nous...


    7 commentaires
  • No mistake in day.
    It's only that "the day after" one finds out things. And I found a video about what I have always called a plot, a big plot about September the 11th.
    Plenty of people around the world know the truth or just smell it, but we've become too lazy and used to any kind of "scoop" to pay any attention to a new one.
    The trick is old. In 17th century Machiavelli in "The Prince" explained to Lorenzo de' Medici how to prepare a war with the popular consent.
    The trick is old but it's still working. Now it's even filmed in cinemascope by CNN (are they in the plot, too?..) since the very beginning of the story.
    On a side they kill and destroy on the other hand they make money on it.... And we say nothing. We all accept. Everything. We are
    responsible as much as them, 'cause we don't react, we don't fight, we don't even try to understand. Point is: we don't even want to.
    And we are collapsing like the twin towers.

    Look at this:

    http://www.loosechange911.com/index_main.html


    8 commentaires
  •  

    Ca y est. Ce matin je suis allée à la Sorbonne pour rétirer mon dossier. J'ai rendez-vous pour l'inscription administrative Mardi prochain.
    De La Sapienza à La Sorbonne .... "on the road"...


    17 commentaires
  • "Uno"

    Avez vous jamais lu l'oeuvre de Pirandello "Uno, nessuno e centomila"? Ca a beaucoup affaire avec  mon sondage. Je l'ai lu peut-être une centaine de fois  depuis mes 16 ans, et ça m'a inspiré mon post de l'autre jour. Ca n'a pas donné des gros résultats, car les commentaires ne sont pas assez nombreux. Mais, tout de même assez pour remarquer des choses. Tout d'abord, pourquoi "Uno"?

    Depuis que je suis née je me connais telle que je suis, ayant changé de coiffure, certe, de façon de m'habiller, et même de penser, mais à la base je suis toujours "moi", et chaque changement m'est bien connu. Pour moi je suis donc, en quelque sorte "immuable", telle que je me vois dans un miroir par example. Mais là commencent les premières surprises. Avez-vous jamais capté  votre image à votre insu? Comme ça, par hasard, en passant devant une vitrine par example...
    Eh bien, denouée de la pose que l'on assume inconsciemment à chaque fois que l'on se regarde il nous faut quelques fractions de seconde pour nous "reconnaître" et assumer à nouveau l'image "pour nous" que nous assumons d'habitude. Pour nous nous sommes donc "Un", un "Un" que nous connaissons depuis toujours et qu'il nous arriverait jamais de mettre en doute. Et pourtant cet "Un" a une vie propre que l'on ne lui connait pas, une vie "sans nous" dans laquelle il marche, parle, s'asseois, regarde d'une façon qui lui est propre et que nous pourtant ne connaissons pas, sauf à la "saisir" cette image dans ces fractions de seconde pendant lesquelles ne s'étant pas aperçu de "nous" il continue d'être lui même.

    "Centomila" 

    Nous ne sommes donc pas seulement "Un" comme nous croyons et comme il nous parait aussi logique de croire. Nous sommes aussi cet "autre" qui existe malgré nous et qui les autres, mais pas nous, voient. Mais là arriva la seconde surprise. Chacun qui nous regarde jette sur "nous" son regard personnel, pour chacun nous sommes donc "Un" comme lui il nous voit, mais pas comme nous nous voyons. Nous pouvons donc être à la fois grand, petit, moyen, le nez tordu (eh oui, le nez compte beaucoup dans cette histoire...) mignon, charmant, antipathique, grossier, triste, gai, selon pas seulement les circonstances dans lesquelles on nous voit, mais aussi la personne qui nous regarde, qui est bien loin de se doûter de tout ça, tout comme nous d'ailleurs, qui croyons naïvement de renvoyer à chacun la même image, sans nous apercevoir de nous être déjà  multiplié en autre cent milles "autres nous" qui agissent envers les autres et dont les autres se font une idée que nous ne pourrons jamais connaître.

    "Nessuno" 

    C'est bien embarassant devoir admettre l'existence de tous ces "autres" en nous, un "autre" pour nous et cent milles "autres" pour chacun d'entre vous. C'est finalment comme si l'on n'était plus personne. Comme si l'on était "Personne" ("Nessuno"), notre "nous" pour nous et les autres cent milles existant chacun pour soi à notre insu et aussi à l'insu de tous les autres, c'est finalement ne plus exister.

    "... Nessun nome. Nessun ricordo oggi del nome di ieri; del nome d'oggi, domani. Se il nome è la cosa; se un nome è in noi il concetto di ogni cosa posta fuori di noi; e senza nome non si ha il concetto, e la cosa resta in noi come cieca, non distinta e non definita; ebbene, questo che portai tra gli uomini ciascuno lo incida, epigrafe funeraria, sulla fronte di quella immagine con cui gli apparvi, e la lasci in pace e non ne parli più. Non è altro che questo, epigrafe funeraria, un nome. Conviene ai morti. A chi ha concluso. Io sono vivo e non concludo. La vita non conclude. E non sa di nomi, la vita. Quest'albero, respiro tremulo di foglie nuove. Sono quest'albero. Albero, nuvola; domani libro o vento: il libro che leggo, il vento che bevo. Tutto fuori, vagabondo.....
    .....Pensare alla morte, pregare. C'è pure chi ha questo bisogno, e se ne fanno voce le campane. Io non l'ho più questo bisogno; perché muoio ogni attimo, io, e rinasco nuovo e senza ricordi: vivo e intero, non più in me ma in ogni cosa fuori." - Luigi Pirandello-

     


    11 commentaires
  •  

    Cet après midi j'ai pris mon appareil photo et je suis allée me promener.

    Voici quelques images


    2 commentaires